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Ces pensées qui abîment, Agence cybernétique de songerie adulte

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Et le vent souffla

--> extrait

Lorsque tu es assailli de partout, ne pas s’extirper signifie la ruine.
La ruine... L’aurais-je cherchée ? Je l’ignore. Je demande simplement une pause. Je devrais dire : un moratoire.
Alors je pars. Avec les moyens du bord. Même somnolant. Même perclus de blanches nuits et jours noirs.
Je traçais, le soleil était doux, brûlait gentiment, le printemps levait la saison, l’automobile éventrait l’atmosphère, les mouches mouchetaient le pare-brise, un chat crevé flanquait le bas-côté. Fort dommage, j’aimais cet animal. Affirmatif, et j’avais d’autres chats à fouetter. Mon esprit épuisé n’était plus bon qu’à une poignée d’impressions chaotiques et actions simplifiées – la conduite assistée, par exemple. Des impressions... Il m’était pénible de réfléchir aux choses. Réfléchir c’est bousculer son ontologie. Les idées s’empressent, assaillent, gémissent. Je les avais conçues et en retour elles m’assiégeaient, m’assignant au for intérieur.
La pratique mentale n’a d’intérêt que lorsqu’elle a pour but de se retourner contre son créateur.
La pratique mentale inflige des sévices imaginaires très concrets dans la chair. Le corps dysfonctionne avec harmonie. Jusqu’où en supportera – disons, de manière digne – une créature après tout humaine ?
J’échoue, quelque part, en un lieu encore à définir, mais j’échoue, dans le prolongement de jadis, j’accomplis ma dérive, j’incarne ma dérivée à l’extrême limite. Je représente une étape majeure – laquelle je l’ignore mais majeure, probablement irréversible, et précurseur. Comme une terrible promesse.
Je suis le fil de mon abîme.
Je suis mon abîme.
Le soleil jouait avec les nuages, leur mettait des coups de soleil, il trichait, on le croyait parti... puis soudain les jets d’or pur, la céleste incandescence de toute sa superbe, sommation de dégager le trafic, allez les nuages ! Les nuées de coton devaient rester à l’écart, la mettre en veilleuse le temps que le chef d’orchestre se défoulât, et le vent souffla une pluie légère, la siffla comme une mignonne, et celle-ci lui caressait les joues, il partait en pirouette, elle lui faisait des clins d’œil gros comme des grêlons, son cœur partait en torrent, il avait la grêle dans l’estomac, elle s’offrait, fine et fébrile, il vrombissait, par soubresaut, en pur-sang agacé, et ils s’accouplaient, enfantaient ensemble des arcs-en-ciel, et les arcs-en-ciel bariolaient la vitre conducteur, le moteur 250 chevaux ronronnait silencieusement dans l’habitacle protégé, les insectes plongeaient par saccade, des éclaboussures de pare-brise, de plus en plus, ils tachetaient ma perspective avec parcimonie, j’enfonçais la pédale, et le métal et sa cyberélectronique et son hôte biodégradable filaient toute allure, impérieux, la fatigue oubliée, l’ennui obsolète, la pensée en équilibre sûr, quelque part cette pensée entre l’animal et le soleil, grande, belle, autonome...
Il y avait peut-être une échappatoire, in extremis. Et elle ne résidait ni dans l’arbre, le gros arbre que je venais de dépasser, ni dans l’écriture, bien trop sournoise et élaborée. L’échappatoire résidait quelque part, oui, entre ce soleil et cette animalité. Qui sait... La météo semblait doucement tropicale en ce beau jour ensoleillé. Je maîtrisais l’environnement ambiant. Embrayer, guider, foncer. Fonctions simples, efficaces, abouties. Rien à (re)dire ni justifier, plus aucun besoin d’analyse. L’analyse arrive toujours trop courte d’un bonheur. J’étais là, actif. Actif sans m’agiter. Actif dans la pleine évidence. Ni déclaration ni témoins, pas de bla-bla – que du bitume, du décor, de la vitesse. Sans en rajouter, kilomètre par kilomètre, borne après borne, GPS en stand-by, horloge au ralenti, compteur fixé cruise-control, destination inconnue, direction au nord, comme ça, parce que, ainsi, j’allais, c’est tout, – et tout à savoir.
Chemin faisant, je bifurquai vers mon patelin de l’enfance, pas loin de la téci d’ailleurs, un coin tranquille, une commune non urbaine et pas trop perdue, paysanne par petites touches, animée parfois, souvent paisible, peu intéressante, tellement ailleurs, ailleurs la ville, ailleurs les hommes, ailleurs les choses. Juste un patelin, une gentille bourgade pas contraire, pas hostile, sans voisinage cafardeur, non, un coin aimable, respectueux, indifférent.
Ma chambre se trouvait justement à louer, celle d’enfance oui ! qui avait précédé la faillite, la nôtre, en famille.
Les temps étaient durs, le pays pourrissait pire que France, pourtant déjà baisée... non, ici la joie amorphe des sympathiques citoyens du monde avait définitivement été entérinée. Pas comme en France où s’acharnaient les fervents défenseurs de la République-de-la-débâcle. En Belgique, c’était calmement mort. Soit, la Belgique s’appelait Mirage dès le départ. Or là-bas, en France donc, les péchés de l’homme blanc devaient encore sans relâche expier. Expier jusqu'au dernier et au dernier des oubliés et, comme on dit, qui cherche trouve. Soyez-en sûrs, les diligents fossoyeurs excaveraient le putrescent cadavre jusqu’au bout. Aucune vermine ne nous serait épargnée. Les colonies, la bombe, l’esclavage, tout ça par la faute de l’homme de souche, et du Juif tant qu’à faire : la souche – comme tout le monde le sait – de Satan. Sans oublier le désastre des Indiens d’Amérique du Nord, et les Incas, le CO2 : tous coupables !... : Les joues rosées des leucodermes. La discrimination, les multinationales, le fric la fame la fortune : homme blanc ! homme blanc ! homme blanc ! Vite, agitons la marotte ! Homme blanc ! Homme blanc ! Homme blanc ! Seul point positif, à présent les manuels scolaires enseignaient enfin à nos chères têtes blondes décolorées version Pink que Napoléon fut " un vilain monsieur esclavagiste, impérialiste, et génocidaire ". Sur ce dernier point on hésitait quant au montant exact de génocidés. Quoi qu’il en soit les organes officiels avaient enfin laissé aux vestiaires l’insupportable langue de bois. Napoléon avait même acquis une très fashion sémantique : " onomatopée exprimant un profond dégoût suscité par les pires déjections ". Les dictionnaires en ligne étaient formels, la novlangue ne ment pas ! " Trop de blanc nuit au pluralisme chromatique ", revendiquaient les zélés de la Tolérance. Tout un programme, et la sauce prît !... Le pire prédateur de l’homme blanc n’était nul autre que l’homme blanc himself. On n’est jamais mieux desservi que par soi-même. Foutue pigmentation de masochiste... " On en a marre ", scandaient les slogans lors d’une manifestation de la mémoire en vue d’un avenir pour tous, " métissez-nous une bonne fois pour toute ! que cette honte de chaque instant enfin quitte notre peau de cochon. " Les souchés digéraient mal leur " réussite " matérialiste, du coup, les souchés relativisaient leur pseudo progrès intellectuel. " Hé, en soi la culture sénégalaise ou malienne par exemple, c’est pas moins bon que la culture française par exemple. " On se l’entendait partout dire... " égalité ! "... " droit à la différence ! "... " devoir de mémoire "... Tant de fécondité. Y avait de quoi en attraper le tournis. S’il vous plaît une aspirine ! Allez comprendre... Une piste toutefois : le souché (de gauche, et tout le monde était de gauche en France, à commencer par la droite) détenait une vertu humanitaire qui le distinguait : se tirer une balle dans le pied en gardant le sourire. Cheese !... Sourire niais ou hypocrite, selon qu’il votât ou fût voté. Et le pire, cette balle dans le pied s’appelait l’Autocritique et l’extirper revînt à renier les fondements mêmes, les racines, la source même de notre grande souche universelle occidentale.
Oui, l’autocritique était nécessaire et même vitale. Sans elle ce n’est plus occidental. C’est autre chose. Voilà, nous avions le choix, disparaître au nom de nos valeurs – ou disparaître faute de valeurs.
Les nouveaux propriétaires se montrèrent sympathiques et discrets, je pouvais pas mieux tomber ni en demander plus – non vraiment. Les murs avaient conservé leur blanc cassé, le même grand placard blanc à boutons dorés bordait le mur sur lequel donnait la porte : un pan entier de ma chambre, j’y avais rangé mon enfance. La vue s’était comme figée, les trois mêmes doubles vitrages, les mêmes châssis blancs, et la même menue si verte prairie, et ses deux chevaux marrons – un manège dans le coin – qui broutaient paisiblement. À vrai dire cet animal broutait toujours, et toujours paisiblement presque aussi bête qu’une vache. Les filles aimaient beaucoup les chevaux. Un chat avançait à pas veloutés, à l’affût, bondit sur sa proie en bon oiseleur qui se respecte. Pauvre cuicui. Les chevaux continuaient de paisiblement tondre la pelouse. Les volatiles découpaient le bas du ciel en de multiples formes géométriques improbables, courbes, ellipses, paraboles. Plusieurs nids avaient pris pied à la cime des arbres, parfois une bête s’y retrouvait en coup de vent, et s’envolait au prochain départ. La nature se donnait en spectacle. Je l’observais sans en perdre une goutte. C’est alors que je fus pris d’un accès mental.
Sous nos yeux de taupes modernes, une grande bébête – appelons-la Civilisation – se faisait grignoter-dévorer par des hordes-multitudes de minuscules parasites – appelons-les barbares – tandis que des cosmopolites-humanitaires se la jouaient herbivores, nous n’avons pas besoin de nommer ces derniers étant donné leur inexistence à proprement parler. En outre, le barbare n’était pas toujours celui que l’on croit. Un sauvage sommeille en chacun de nous. Pour qu’il émerge, c’est simple, il suffit de ne rien faire. Il suffit de naître. Il suffit d’être tout simplement soi.
La civilisation est l’exception.
Les barbares sont devenus la règle.
Les barbares imposent leur règle.
Non, même pas, pourquoi les Barbares imposeraient-ils leur barbarie, lors que les Décivilisés de la défunte civilisation leur ouvrent grandes les portes, exhibant fièrement leur modèle inoccidental ? Face à notre décrépitude bon enfant aucune marche à gravir pour planter son drapeau au sommet. Soyons sérieux, au sommet de quoi ?
Oh... tout cela importait peu, gauche, droite, socialisme pas socialisme, fric pas fric, prédateur pas prédateur, tout cela sortait du cadre de mon éphémère existence. Je pouvais penser ces phénomènes, ces objets, ces " affaires ", et c’était je crois, tout ce que je pouvais faire – y penser. Il me sembla tout de même, réflexion faite, que la nature était de droite. Vous comprenez, un oiseau en piqué venait à l’instant de séparer ma fenêtre en deux, et je me mis à penser ses ancêtres les dinosaures, essayant d’imaginer les décisions d’un Tyrannosaurus Rex parachuté en plaine prairie. D’abord, il dévorerait les chevaux paisibles – environ trente secondes de dîner, peut-être davantage – ensuite le chat au dessert mais le chat trop vif et malin prendrait la poudre d’escampette, alors le monstre se dirigerait plein de couleurs dans ma direction. Honnêtement, le monstre aurait davantage à craindre lui de moi que moi de lui. Le monstre pesait six tonnes – désolé mon grand, mais tu ne feras pas le poids, au marché darwinien des créatures, homo sapiens a introduit la pensée sur son plateau de la balance. Ça a fait BOUM. Mais peut-être une météorite géante viendrait-elle solder nos différends, ça s’était vu, ce n’est pas une première ! Comme bien avant l’avènement des deinos saura, ces " formidables lézards ", et comme ensuite au Crétacé, et comme d’autres cataclysmes encore, ces histoires de volcans géants à cratère multikilométrique, ces histoires d’hiver nucléaire après impact d’un terrible météore, ça tout ça, tout ce, tout ce... ces contingences, ce... ce déchaînement des éléments, ces petits rien de la galaxie... tout cela écrasait et recyclait à bon compte, les espèces se succédaient invariablement, sans que l’univers sourcillât, tranquille, parce que c’est comme ça. Mais était-ce – vraiment – comme ça ? Oh je me souvenais ! je me souvenais... tout ce que j’avais appris, Google, Wikipédia, blogs, livres... et cætera, ces grandes théories, connaissances, épistémès... ces datas, ces progrès, ces transports ! tout, tout, TOUT ! tout m’engloutissait... dépossédé du moi-même, de l’orgueil, la vie, son être, sa raison, son sens, sa voie... Tant d’hommes ! tant d’étoiles... tant de découvertes... faites et à faire, et si peu de vie, si courte, si brève, si arbitraire, abrupte, condamnée. Le tyrannosaure fut bien plus heureux. Cependant j’étais son prédateur. Son supérieur. Son infiniment supérieur. L’univers avait-il ressenti jusque là ? Avait-il ressenti avant que je naquisse ? Pas certain.
Les équidés paissaient paisiblement, toujours.
Toc toc toc. La porte s’entrouvrit sans plus d’introduction.
– Ça va, vous ne désirez rien ?
– Non, rien. Merci.
La porte allait se rabattre.
– Vraiment rien. Je suis venu ici par solitude, et pour la solitude – j’y tiens beaucoup. Autant qu’elle tient à moi, murmurais-je mentalement. Vous pensez que c’est possible, avais-je interrogé à présent à voix haute, que c’est... envisageable ?
Le visage hésita, un peu décousu ; je ne présentais pas un type fréquent. Le visage marqua un long blanc silencieux. Finalement, la bouche se mit en branle.
– Oui, c’est tout à fait possible... naturellement. Et dans sa fuite d’ajouter : vous serez tranquille. Plus personne ne vous indisposera. Plus personne. J’y veillerai.
Trente ans de moins et j’aurais demandé la sainte main de cette entamée quinquagénaire. Elle savait pratiquer le silence, cette denrée rare en voie de disparition.
Le ciel brumait pas mal, de lents mouvements grisâtres sur fond bleuâtre. Trois ou quatre milles ans Ante Christum Natum on eût à pareil spectacle conclu que décidément, ce jour, Dieu est maussade. Aujourd’hui les particules élémentaires faisaient la pluie et le beau temps. Peut-être les supercordes, bientôt... Des dimensions supplémentaires, des invisibles, qu’on ne voit pas, nous. Des trop infimes, un autre monde, une autre géométrie, un truc mieux violent qu’Einstein, coucouche panier la relativité générale, mieux bouleversant, moins humain, oui bien moins humain que la déjà inhumaine théorie einsteinienne de l’espace qui dilate et du temps qui délite... les scientifiques commettaient chaque jour la délation, condamnant la chair et l’os, chaque jour un peu plus, pour qu’on comprenne à quel point on est vacant.
Les scientifiques gelaient notre âme.
Le ciel tout à coup se voila d’un bleu très foncé. Vingt heures le soir au printemps, les gazouillis se prolongent dans le clair-obscur qui se répand parmi les arbres, des conifères peut-être... qu’en savais-je moi, ces bois ! quel l’intérêt ? pas ma came ! les dénominations, les normes ! encore ! ailleurs ! qu’on laisse tranquille !... un chien passa, chez le voisin... au loin... plus ou moins, un pelage noir dans le velours sombre qui tombait de la nuit approchante ; de la lumière, une silhouette, une femme, sa poitrine, à peine... ses cheveux... des cheveux ? Ses cheveux... de l’activité... une famille sûrement... une comme une autre, toujours… les nuages maintenant partout, planants, investissaient la voûte céleste à l’horizon... par en bas, épais, mouvants, ils grimpaient, nombreux... les bruits de la nuit prenaient scène, le décor infusait, l’ombre légère diffuse, j’attends les étoiles, patiemment, en connaissance de finitude, temps, espace, idées... les insectes psalmodiaient – définitivement. Des pas dans le gravier proche, une marche soutenue, un quidam. Un comme un autre, encore... Une lueur au loin, un avion... Les chevaux disparus, rentrés dans leur box, cette cabane approximative, le chat quelque part, mais où !… d’autres animaux, des petits des grands, des furtifs, des craintifs !… qu’importe… au diable… à la nuit… au spleen. La nuit n’avait pas d’odeur, mais elle avait un sens de la mise en scène, assurément. Je me souvenais dans les bois parfois, surpris par le tard, je ressentais l’effroi de l’animal pris au piège, bordé par les ombres, les légendes ridicules de jour, qui s’éveillaient la nuit, elles prenaient vie : meurtriers, assassins, cannibales... tout tombait, le ciel, le bonheur, l’envie... je dérivais dans le flot de la forêt noire, idées, affects, souvenirs... wi tsi tsu, hihu, tsi tsi, huhi!... tswihu, hrui... la faune aviaire poumonait le cœur du lieu nocturne, hrui tsutsutsu... hui hu hui hu... huhihihi wihu wihu... cluclu hi hu, cuiku, huhihihi... les toits de geai découpaient le bas du ciel à présent épuré, les nuages chassés, la nuit bientôt immaculée, sa robe de soirée, impérieuse, dominante, prégnante, nul tyrannosaure n’était venu, nul caillou céleste, nul volcan n’avait craché, seuls les arbres tendus noirs à l’infini de gris et bleus de l’ombre du grand tout... des végétaux pas encore enfeuillés, un doux silence, malgré une voiture passant tout pétard, moteur éructe et feux repoussant la nuit sur ses flancs... – et le silence de nouveau. Le crépuscule s’était retiré sous la sommation des profondeurs des ténèbres, sorties de la terre, elles avaient conclu le tableau. C’était beau et pénétrant... et ça n’avait rien de rassurant. Houhou-houuu… j’attendais les étoiles, calmement, elles viendraient, le passage avait été dégagé, elles viendraient... un chien hurla, encore, et encore... il insistait, opiniâtre, geignard, aberrante bête stupide. L’air était sinistre, les créatures accompagnaient le silence épais mais fragile, à tout moment pouvait s’effrayer, je pensais, je méditais, je laissais aller... ha ! ha ! ha ! hâ…. Tsu-u-u !... un volatile un ! Puis plus rien.

Ecrit par Jokeromega, le Mardi 30 Janvier 2007, 18:27 dans la rubrique "Chantier fermé".


Commentaires :

  M
04-02-07
à 00:08

Bien que tout chaos barbare refondateur soit emprunt d'un idéal... La barbarie il est vrai est en chacun de nous... vaniteuse romance qui nous gouverne hélas de trop... les barbares, j'entends les vrais, les seuls... capable de donner une impulsion au monde de part cette folie ordinaire... conservatrice même de l'espèce... sont par trop souvent opposés aux humanistes et autres pantins déguisés, déclarés officiellelement conservateur de valeurs morales essentielles... mais ce qui est essentiel n'est pas fondamental...

Si vous n'approuvez rien de ce que j'ai dit... c'est que j'ai juste survolé ce texte sans le comprendre entierement... ou encore que je suis trop jeune... effacez-tout mes dires dans ce cas


  Jokeromega
04-02-07
à 03:04

Re:

L’entrée est libre, j’invite tout un chacun à participer.
Ceci étant je peine un peu à démêler votre pensée. Dans le doute je n’oserai guère une réponse de crainte de vous méprendre.