Il peut être agréable de rendre hommage aux penseurs qui nous ont précédé en les citant. J’en conviens et peut-être même y appellerais-je (sous condition de modération, d’à-propos et de non inféodation), mais mon intention immédiate se trouve, aujourd’hui, ailleurs.
En effet, mon esprit vagabondait du côté des hommages rendus lorsque soudain j’en vins à me poser cette question :
Tout bien pesé, quel pouvait bien être l’homme le plus orgueilleux ; celui qui déclame plein de souffle et de confiance les illustres références ? ou celui qui, opiniâtrement à l’écoute du soi, met un point d'honneur à n’y point toucher d’un point virgule ?
Nos moyens sont faibles, économisons-les ! Des choix s’imposent...