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Les maudites gamines

Saloperie ! J’écris des articles cinq étoiles, mais à qui, au vent, ou presque ! Allez comprendre... Ça va, depuis le temps, je sais, tout le tintamarre, venez pas me raconter vos salades... oh ! Mais ça risque pas, venir ? Mais personne vient ! Ou presque, encore, j’exagère, et alors, qui pour me modérer, qui pour cajoler, hein, qui ? Je vois personne, hein, où les candidats ? Des égards, la bienveillance ? Seulement quand c’est que vous êtes arrivé, tout au-dessus, là que ça lèche, et pourlèche, et babines et bobine et photo, plein le bide s’ils pouvaient... Pour l’heure, à l’eau ! Je le dis, je noierais le poisson qu’on remarquerait pas, inaperçue ma fanfare, des indécis des malpolis des esprits ivrognes et de sottes manières, vos histoires, par cœur ! Je les connais, avant même d’aborder, je flaire toute la cymbale, toutes les castagnettes se ressemblent, niez pas ! Voilà, réduit à vitupérer comme les vieux chnocs émoussés, la bête enrage... pensera-t-on. Que non, juste navré, pas plus, je jure ! Pff… Allez, tournez manèges, je suis le mauvais canasson, même pas la pièce pour moi, en plus qu’on est passé à l’euro, je suis affaire classée... même pas ! Même pas ouvert mon dossier, adjugé avant séance, je suis l’homme invisible. Jusqu’à un certain point, ah mes cocos, attendez de voir, c’est pas gagné d’avance, j’ai du souffle ! Qu’on se le dise ? Et puis... et puis rien, le néant, un peu de mise en avant puis déjà le temps... tout qui fout le camp, la durée est réduite et mesquine. C’est vache. Mais c’est comme ça ! Sinon rien. On est prévenus.

Bon bref aujourd’hui j’ai une nasale d’irritée et la gorge râpeuse, l’hémisphère gauche qui me poinçonne, même l’oreille gauche douloureuse. La grippe, je crois. Ça m’en a tout l’air ! Mais on s’en fout. Vraiment, qu’est-ce que ça peut faire au lecteur, il s’en balance ! Et moi avec, ça tombe harmonieux ! Donc, pas top forme, en principe... pas grave, je carbure, pour dire de... Après dodo, et bobos... Pff... Dégueulasse, c’est dégueulasse. Mais je persévère, pas le choix. Ni l’envie parfois, mais il faut. Il le faut ! Soit.

Je m’en rends compte, faut baratiner, de belles histoires... Impossible ! J’en suis incapable ! Non, je vous le dis, chassez le naturel qu’il revient au galop. Moi c’est pensées et basta. Humeurs et en priorité ! C’est tout, moi moi moi. Je serai l’écrivain du moi. Dans toute sa démesure. Plein pot les petits loups, je vais régaler ! Oh mes amis, pensez bien, ce sera feu d’artifice... et précipices... aussi, ah bah oui, hein, fallait s’en douter, après le vent la tempête.

Le problème, là, tout de suite, je suis enjoué, et les gens, le triste lecteur malencontreusement débarqué ici (tous les malheurs finissent par advenir), hein, lui il va pas me jauger plus loin que ça. " Oh, encore un hurluberlu, un macho de la gâchette, un motivé inexistant, etc., etc. " Bon soit, il me calculera même pas, comme on dit (c’est pas moi qui le dis !). Donc, je suis mal barre... c’est bien évident ! Pourtant, voilà-t-il pas que je pousse ma petite chansonnette, comme tel, pépère, sans trop la gêne, hein, mais quoi ! Hein, proposez-moi ! Non, surtout ne dites rien ! Je vous vois venir. Et de loin ! Ou alors commentez gentil, ça je veux bien. Ou ignorez, comme d’habitude. Merde quoi ! Je dis chiotte. Noté, là, tel quel, inscrivez-le, merde ! Caractères gras, et tout et tout, allez allez, prenez le temps, du beau boulot que je veux, bien net tout propret, merde !

Je me calme.

Je disais donc, je suis malade, un peu, la fièvre, sûrement, mais pas trop, juste ce qu’il faut, assez de rogne et pas trop de mal, demain qui sait, naufrage de langueur mais ce soir, oh ce soir, cette nuit, oh cette nuit ! Carton plein ! Je dégomme tout. Faites gaffe. Je suis d’humeur dévorante. Je vous emmerde. Et vous me le rendez bien, je sais, cheese, mais oui, gentil gentil.

Je me calme (si si, pour de bon ce coup-ci).

Donc ! (ça revient, je le sens !)

Oui...

Hm...

Ah je sais. Cette chienne de A.. La chienne ! Voilà, voilà un bon sujet pour renflouer la rage. La braise ! Ouh que ça monte, la charogne. La pire de toutes, monstrueuse créature, hideuse individu. Intelligence : très bien (même très très bien). Caractère : ZERO (et je suis généreux, j’ai envisagé la cotation négative). Salope dans tous les sens du terme, elle me l’avait dit, en plus ! Je la croyais pas. Elle avait raison. Les filles intelligentes ont une assez bonne estime d’elles-mêmes, souvent elles vous proposent d’horribles autoportraits (elles ont leurs moments de lucidité morveuse)alors bien sûr vous dites que non, que c’est n’importe quoi, ben oui, vous croyez pas, c’est trop immonde. Hé bien, croyez-moi... croyez-les ! Sur parole, elles disent vrai (la seule fois d’ailleurs). D’habitude je m’imagine tout ce qui poussa un individu à son état (apparent)actuel, ce soir, feu à volonté ! L. tiens, pas mal dans le genre. Pendant six mois elle m’a bassiné de son ex, " et il me débecte et il donne envie de vomir il est morbide et lourd, et sa petite voix lénifiante etc. etc. " Lui répondait même plus au gars ! Le pauvre, désespéré. Attendez de voir la suite. Il crève (ce sont des choses qui arrivent). La petite, elle en dort plus ! Mon amour, celui de ma vie, la vie ensemble, l’amour chaque jour, à profusion et encore et des merveilles, je vous dis pas ! Tel quel ! Sans vergogne, convertie sur le champ ! Voilà. Mort on vous apprécie. Normal, c’est pratique un maccab, mieux que les chiens, encore, le canin il grogne parfois, faut le sortir un peu, il fait là qu’il faut pas, en chaleur il se décharge dans la pantoufle enfin voyez le topo, mais le maccab ! Lui, une fois par an les fleurs, une petite prière le soir et basta ! C’est l’avenir le maccab, pratique, je vous le dis, si j’étais magna j’en ferais la promotion en boucle sur les chaînes hertziennes de seconde zone, savez, la nuit, la grille est demi vide, et bien, non stop propagande du crevard, l’amour absolu, puisque je vous le dis. Jamais il vous déçoit, jamais il contredit, en plus pas regardant pour un sou aux petites histoires infidèles, il vous aime sur commande (suffit de l’imaginer bien fort, puis c’est le siècle des sextoys, et vu la galopante technologie tout est permis de présager !), il sent bon les souvenirs, modifiés, évidemment, mais quoi, la meuf en deuil elle s’en bat les miches, tout à son avantage, celui de l’imbécile mémoire. Débile. Je le dis. Ignardise de la plus basse espèce, mais les hommes, et à fond les femmes, ont besoin de leurs petites menteries. Nous on se fait des illusions et elles sont là pour les enterrer, et nous avec, dans le meilleur des mondes, là qu’alors elles se mettent à NOUS illusionner. La nana, c’est vraiment pas fiable. Bon d’accord pas tout le monde du même moule, mais je m’en contrefous, ce soir je dégaine. Bam bam bam !

Revenons à notre A. chérie. La chienne ! Je le répète. Si si j’insiste. Oh le vice qu’elle a, la vilaine bébête. Comment elle s’insinue tranquillos, puis crache à la gueule et encore, même pas, elle tourne casaque, arrivederci ! Même pas, nul au revoir, elle file sans rien dire, comme ça, en silence. La mufle ! Charogne ! Stupide animal détraqué. Après, moi, hein moi, moi j’attriste, snif que je suis, idiot ! Plus bête encore que la prévenue, elle au moins, elle qui manœuvre ! Mais moi, moi petit chien pleurnicheur, ouin ouin snif. Balivernes mon vieux ! Un peu de dignité voyons ! Tout ça pour quoi, tout ça pour qui ! Hein ! Une pisseuse intellectuelle, voilà tout, même pas à ma cheville, et je bave tout mon cœur comme un benêt. Je mérite potence, tiens comme l’autre, aux quatre planches ! La chienne ! Elle serait encore capable de me regretter. Mais même crevé je vous le dis, je me méfierais ! Allez savoir qu’elle salope mon tombeau, tiens qu’elle viendrait profaner ma sépulturale tranquillité. Non je le dis et j’y évertue mais qu’elle rapplique je fais le beau ! Ha ! Idiot ! Son petit toutou, direct, je garantis ! Charogne ! Une plaie la morveuse.

Et une autre là, C. tant que j’y suis, elle, oh elle juste copain-copain (copain-copine quoi !), mais ce qu’elle m’en a appris, enfin je savais déjà pour leurs manières, mais d’aussi près, tant dégueulasse, du travail d’orfèvre la petite. Des prétendants à retour de bras – enfin, qu’elle prétend, mais même, qu’elle gonfle, m’en fous, l’esprit traître est là – et après, elle m’accable " d’égocentrique ", là je lui fais " Mais sans ego il n’y a pas d’art ". Bon, ça la calme mais n’empêche, manque pas d’air la vilaine, ça s’attire tous les mâles possibles et ça se paye le toupet de lancer de l’égocentrique aux autres ! Ah la morveuse, je le dis, elles sont gonflées, tout dans leur sens, toujours ! Oh... Moi, pas innocent de tout reproches, mais elles ! Elles ! Oh mes mignonnes, que de chienneries, armée d’insolences, les impertinentes célestes aiment manquer à toute conduite digne et respectueuse. La bienveillance, connaissent pas ! Tout dans le gosier, le leur ! Après elles gazent vite fait, les reverra plus ! Maudites gamines, mais attendez voir la trentaine, premières bonnes grosses rides, bien creusées là, quand les garçons regardent toujours... la petite sœur, là qu’elles deviennent dociles, ça suce à la demande même si ça continue de cracher dans le dos. Ou alors ça se cabre plus encore mais celles-là, tintin ma jolie, faudra se mettre des doigts, fini le piège à cons.

Mais le plus ignoble de l’affaire, c’est que, passez-leur une grosse brute macho minable aux méthodes basses et ignares, hé bien, elles en sont folles !  " Oh il me fait souffrir, je l’aime ! " Garanti ! Honteux. Et pathétique. De l’humain, plein pot, version mademoiselle caprice. Ainsi ces meufs-là, ça a besoin de son maître, qu’importe ses capacités, au vent le raffinement, toute façon c’est pas ça qui intéresse, ni qui fait jouir, du mystère, je le dis, elles veulent du mystère, et le mystère, hein, baratin ! Mais oui, elles se plaignent à retour de bras que le macho se la joue mais au fond, elles en redemandent, oh bien sûr elles diront " mystère ", plus élégant, voyons ! Mais dès que, hm, disons que vous êtes aimables, elles marchent dessus, elles comprennent plus, ça cloche ! Ainsi donc messieurs, en cas de rencontre de filles épouvantables, pensez-y dont, imaginez le pire numéro de macho dégueulasse, inconséquent, absent, à peine, je dis bien, j’insiste, à peine intéressé – bref juste là pour baiser et baragouiner deux trois mensonges plus ou moins savamment orchestrés – imaginez-le le plus ignoble du monde et sachez que lorsque VOUS serez cet immonde personnage, l’amour ne pourra plus que vous sourire. Pour un temps ! Et alors ? C’est pas comme si on allait vivre éternellement.

Voilà, ce texte est limite ( ?)abjecte mais il a le mérite de remettre des pendules à l’heure. Faudrait pas que ça aille toujours dans le même sens. On le saura !

Ecrit par Jokeromega, le Dimanche 4 Décembre 2005, 01:44 dans la rubrique "2.Intellections".


Commentaires :

  jessicaH
04-12-05
à 05:59

hum...

"Voilà, ce texte est limite ( ?)abjecte mais il a le mérite de remettre des pendules à l’heure. Faudrait pas que ça aille toujours dans le même sens. On le saura !"=>
Les pendules à l'heure du fiel et de l'amertume baveuse et vaseuse.
En tout cas tu as l'air de t'être bien defouler,un bon footing et au dodo et ensuite les esprits te reviendront.
Car la duperie, la sournoiserie ou tout autres termes en "rie" n'est pas l'apanage des donzelles, tiste sir, certains hommes sont aussi sans coeur, têtes creuses et inconstant en bon nombre de situations.
Cependant ça n'est pas parce que "certains" sont ainsi que je me targue sous pretexte d'une rafale de defoulement d'éméttre la généralité que les hommes sont tous des porcs uniquement parce que quelques uns le sont.

Il existe des salopes...aussi surement qu'il existe des salops.
Et à coté?!...y'a les gens basics, qui ne veulent qu'être heureux et vivre une relation épanouissante et sincére...mais qui se font toujours rouler par le peuple des salopards (hommes et femmes).

C'est la vie,tirons en des enseignements pour que plus jamais nous nous laissions rouler par ces gens là.


  Jokeromega
04-12-05
à 15:10

Re: hum...

J'ai répondu au-dessus.  Enjoy!

Sinon, merci d'être passée, c'est toujours un plaisir, malgré les petites divergences.


  Anonyme
21-04-06
à 22:53

texte con/
je n'ose pas croire que celui qui l'a écrit, enfin 'écrit', on ne sait trop.., ne le sache pas...
asseyez vous mon garçon, çela va aller...

  Jokeromega
21-04-06
à 23:00

Re:

Merci de vous inquiéter, et merci du passage!