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Ces pensées qui abîment, Agence cybernétique de songerie adulte

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On va naître ensemble

--> extrait

Voici un extrait tout chaud (!)tout frais, je viens juste de l'écrire, et, pour donner une idée de l'état d'avancement, j'en suis à 85 pleines pages de Word en caractères 12, soit environ 180 pages d'un bouquin traditionnel, ce qui correspond à un gros tiers ou peut-être une petite moitié de ce que j'ai en tête de structure narrative.  Je bosse DUR(sans mauvais jeu de mots), croyez-moi!

Et j’avais caressé ses lèvres d’un délicat baiser. On avait décidé de faire escale à Bruxelles, je me souvenais d’un petit restaurant grec près de la grand place, alors on avait mangé local, c’était bon et pas cher, ça me rappelait l’époque des vaches maigres, des filles pour qui je n’existais même pas, et à présent qui rêvaient de me sucer une ou deux fois avant de se faire engrosser et vivre à charge de frais. Amandine me fit un sourire sincère et contenu, sans montrer les dents, tout en finesse, ce qui me donna envie de lui faire l’amour très fort, très profond.
Il était vingt-deux heures lorsque je témoignai ma gratitude au serveur par un pourboire de 100 euros, qu’il devait partager avec ses confrères, pour l’accueil reçu et surtout parce que je bandais comme un taureau et que cela mettait de très, très bonne humeur. J’étais prêt à répandre le bonheur. Par ailleurs j’avais tourné la semaine précédente une publicité particulièrement enrichissante, avec contrat à longue durée à la clef et utilisation systématique de mon image, pour une marque d’insecticides au slogan, c’est moi qui l’avais créé, " faites comme moi, tuez les emmerdeurs ! ", parce que j’avais lu dans Voici que huit lectrices sur dix s’étaient au moins une fois dans leur vie doigtées en pensant à un tueur en série, et dans ce même magazine on apprenait que Frank l’auteur à scandale arrivait en tête de sondage des plans cul avec un people et en fin de peloton en ce qui concernait une relation sérieuse. Cela m’avait attristé de constater que mon assise financière n’incitait pas à tout de même un peu plus de tendresse du point de vue de la relation sérieuse, je me sentais très objet, comme si je ne valais guère plus qu’un vibromasseur ou un serial killer. Voilà, j’avais alors établi un parallélisme. Dans le même temps je m’étais fait sucer dix-sept fois en trois jours, une migration sauvage de moustiques avaient eu lieu au sein même de la capitale, malgré la pollution toujours à la hausse qui d’habitude les asphyxiait. Et en faisant mes recherches sur le réseau j’étais tombé par hasard sur un article d’un étudiant en thèse de doctorat de marketing qui menait une étude approfondie du secteur des insecticides, or il se faisait que le géant américain KillTheSmall cherchait à implanter le marché français. Par ailleurs ce chercheur avait conduit une succincte étude de clientèle qui démontrait que dans neuf couples sur dix c’était la femme qui s’occupait des achats d’insecticides, par prévention pour la santé des enfants et par désir assassin refoulé, la femme étant dans la vie sociale habituée à l’écraser, comme on disait. J’avais alors de ma propre initiative proposé mes services d’image et de lettres à KillTheSmall, qui s’enthousiasma au-delà mes espérances. J’étais plein aux as à présent, en plus j’avais reçu gratuitement dix paquets de chacun six tubes de 500 ml. Que demander de plus ? Ah oui, une gâterie à ma petite chatte. Dans cette optique, je jugeai plus sage de tester tout de suite la réputation des matelas et des sommiers du cinq étoiles Hilton 38 boulevard de Waterloo 1000 Bruxelles, fallait se méfier du laisser-aller de l’industrie hôtelière, mais Amandine insista qu’on fît un peu de lèche-vitrines avenue Louise, le rendez-vous chic et luxe du royaume, des centaines de boutiques very high standing étalées sur plus d’un kilomètre de glamour et de trottoirs chaussants les talons compensés des adolescentes de diplomate et les bottines Gianni Versace des canons de moins de vingt-cinq ans de La Hulpe et de Rhodes-Saint-Genèse, mais aucun pavé n’était plus heureux que lorsqu’il avait supporté le pas souple et cadencé des sandales Yves Saint Laurent Lolita 95mm en cuir noir de ma chérie, avec ses gants gris YSL et sa veste courte près du corps gris chiné YSL, et sa jupe droite blanche au-dessus du genou YSL (je lui avais offert un ensemble complet de chaque grand couturier et celui-là était le seul qui ne montrait pas soit ses fesses, soit ses seins). Oh, et j’avais un bras sous son pull sur sa taille et l’autre disponible pour de temps à autre lui remettre une mèche, après, le reste, c’était ses carabistouilles de fille, je la laissais faire et j’apposais mon avis final en cas de tentation, avis synonyme de vie ou de mort pour l’article en question, vu que de toute façon elle n’envisageait l’habit que pour s’en faire dévêtir par moi, et il fallût que j’apprécie ce qui me passerait entre les mains.
Sa bouche mutine et son regard braisé ne me posèrent aucun problème, par contre j’eus du mal avec le soutien-gorge, les filles s’y prenaient toujours mieux que nous, les mains dans le dos qui plus est ! Maintenant que je m’étais un peu familiarisé avec son corps, car elle se promenait facilement topless dans notre résidence, j’estimais en fin de compte les poitrines modérées comme religieusement plus esthétiques, elles étaient fermes et portées hautes, par ailleurs je ne sais pas si c’est moi, mais je trouvais que les mamelons durcissaient plus vite. Sa plastique bien que menue, menue sous tous les angles et sous chaque aspect, 1 mètre 61.5 (j’avais tout de même sous-estimé sa hauteur), petit cul et poitrine modeste, fine de partout et grasse de nulle part, sa plastique était irréprochable, elle était à la fois belle et mignonne, ce qui est très rare chez une fille, et inexistant chez un garçon. Elle pouvait en effet parfois hisser ses vingt-huit ans indicibles vers un vingt-cinq ans élégant, mémorable et de toute beauté, ou à d’autres occasions faire l’effet d’une soyeuse petite fille toute mimi, moins marquante mais très, très adorable.
Déplorant mon incapacité au dégrafage de soutien-gorge, elle eut l’idée malicieuse de m’affubler d’un bandeau sur les yeux et de m’obliger à ôter l’objet érotique de mes dents, ce qui fut hautement jouissif et d’une grande qualité de mise en appétit, si bien qu’elle décida que je conserverais mon handicap. J’aimais l’odeur de sa lingerie de corps, elle avait sur moi un pouvoir érotique étonnant, mais ce que j’aimais par dessus tout, c’était remonter à la source de ces odeurs. Je me mis à genoux et introduis ma langue dans son vagin.
" Oh ! Toujours pressés les mâles ! " me reprocha-t-elle enfantine mais quand même un peu sérieuse, et déçue.
" Mais, enfin, je croyais que commencer, enfin, ce n’est pas cela que tu attends, c’est déjà trop ? Moi je voyais ça comme un préliminaire, hm, un peu salé sans doute, euh, ah mais j’avais oublié ! C’est vrai ! Par Zeus, tu as mangé grec ! Hé hé hé. Oh! mais je taquine mon chou, et excuse-moi, voilà, moi, je peux pas m’empêcher de tuer l’ambiance, à bavarder des sornettes inénarrables, oh, pardon ! "
" Tu aurais pu au moins flirter un peu, et travailler ma nuque, et, bon, ça va, mais c’est vrai que tu es un amour sinon, allez viens là que je découvre comment ça goûte le manger grec. "
Ça va, on gardait le sens de l’humour en amour. On a pratiqué le french kiss et toutes sortes de bisous et caresses pendant un temps infini, d’ailleurs la notion de durée s’était évaporée dans les effluves montantes du désir ; je réalisais une franche sympathie à l’égard de ses tétons si écarlates et agréables à prendre en bouche, je les mordillais sans relâche, des petits cris, c’était sensible comme zone, et puis j’étais si heureux de prendre ses deux petites poires en main, c’était le symbole d’une vie amoureuse enfin avérée, mon accès sexuel était confirmé, et j’avais envie d’unir nos corps définitivement, et c’était pareil pour elle, on le savait, c’était si évident lors de ces ébats torrides et inconditionnels, j’en venais à trembler mais aussitôt elle me rassurait, elle m’apaisait, sinon c’était plus gouvernable du tout, elle le savait bien. Fallait pas me le reprocher deux fois le vice du mâle trop pressé, j’ai approché son offrande génitale avec maîtrise et parcimonie, je me suis appliqué corps et âme, elle mouillait beaucoup et l’organe devenait brûlant, j’avalais le plus possible, elle caressait mes cheveux, et laissait glisser vers moi des mots tendres, ils parcouraient son menton son cou gracile, se faufilant entre ses clavicules saillantes mais pas malsaines, ils poursuivaient et dessinaient des formes géométriques diverses rendants hommage aux constellations sur son ventre creusé d’émotion et tendu au plaisir, ils me tombaient pile sous la langue, je les gardais en bouche et je les mélangeais aux sécrétions vaginales, parfois je remontais échanger nos salives, nos intérieurs, et pour finir j’ai craqué, j’ai valdingué le foulard, mais elle avait envie de voir mes yeux justement, voir le désir contenu et le feu imminent. Elle voulait faire un 69, comme Natasha, mais j’ai décliné à nouveau, pour les mêmes raisons qu’alors, que j’exposai cette fois, car on pouvait se parler nous deux.
" Mais on s’en fout ! qu’elle a rit toute sincère et généreuse, on le fait jusqu’au bout et après on se câline en attendant que tu reprennes des forces et on tente autre chose, tout simplement mon petit chou. "
‘Smack’, elle avait baisé mon ventre à hauteur de nombril, puis, lentement descendit tandis qu’elle me fixait avec défiance et soumission, j’ai fait un effort de relaxation, elle me caressait les hanches en même temps qu’elle prenait mon sexe, j’étais cool en fait, je m’en rendais compte, je suis descendu à mon tour rejoindre ses lèvres au rouge à lèvre pourpre, et on s’est chatouillé les langues, on était en parfaite harmonie, alors je l’ai regardée un bref instant droit dans les yeux, avec tout l’amour de mon univers qui la mettait en joue, j’ai humecté sa nuque, j’ai frôlé son épaule, elle me tenait d’une main, et me caressait de l’autre à la base, j’ai murmuré " On va naître ensemble ", et on s’est rapproché définitivement.

PS: et un special Thanks à Epectase pour m'avoir donné l'idée du prénom de mon héroïne! ( :-) )

Ecrit par Jokeromega, le Jeudi 26 Janvier 2006, 20:04 dans la rubrique "Chantier fermé".


Commentaires :

  chrysalide06
26-01-06
à 20:54

Tu as du talent, c'est indéniable :)))

Chrysalide


  Jokeromega
26-01-06
à 23:20

Re:

Merci!!

(voilà, j'ai fait vite, je suis épuisé)


  Epectase
06-02-06
à 17:45

Re: Re:

Je suis tombée là sans être prévenue, et ça m'a fait bizarre de voir que j'y étais déjà.

(Dès que j'ai le temps, je lis, promis)