On reproche souvent à l’homme qui aimait être saoul, d’avoir écourté ses jours, vous savez, une cirrhose du foie à 54 ans, etc. ... Mortel. Il est vrai que l’alcool détruit mais qui ne dit pas qu’à jeun il allât défenestrer ses fraîches vingt-trois piges (par ex.) ?
Voilà, on en revient au problème des fuites et refuges, chacun cherche son petit coin à lui bien pénard, à la chapelle ou en discothèque, d’amour ou de haine, il faut bien quelque chose qui consume – lentement si possible, c'est meilleur – le chagrin, et notre peau (de chagrin) pour éviter le désespoir spontané.