J’avais une discussion hier soir, avec quelqu’un qui m’expliquait avoir réussi à ne rien attendre d’amour, ni en fait à ne rien attendre d’autrui en règle générale, voire définitive, pour ainsi se protéger des désillusions et des coups durs, des coups trop durs, j’en ai retenu ceci, que j’ai trouvé à opposer :
" Sans les autres on est comme une plante sans lumière, on meurt. "
Alors voilà, joyeux Noël les autres, joyeux Noël les humains.